Mon Premier Voyage De Femme « Libre » 14° Partie
Sa main se posa sur ma cuisse largement découverte pour effec des caresses appuyées. Me laissant faire, il s'enhardit pour monter jusqu'à mon mont de Vénus qu'il eut la surprise de découvrir lisse et déjà trempé
Il prit le temps de me visiter et de parcourir tous mes recoins secrets.
Je me surpris à m'étaler davantage pour m'offrir à ses caresses chaudes et délicates qui me crispaient le ventre
J'étais offerte, si impudique, si indécente devant cet inconnu et le jeu me plaisait, m'excitait. Quel changement !!!
Ne voulant pas être de reste, je me mis à caresser la bosse qui déformait sa braguette. Un engin prometteur, hum
Je défis quelques boutons pour libérer John dont le sexe tout gonflé était coincé.
Celui-ci sortit d'un coup. Comme un diable de sa boîte !!!!
Un sexe énorme !!! Comment un garçon si mince, si frêle pouvait être aussi bien équipé. Ma main n'arrivait pas à en faire le tour.
Je ne pus résister à l'envie de le sucer là, maintenant. Envie de le boire, de goûter à sa saveur
Pour être davantage à l'aise, je me mis à genou dans l'allée. Le fauteuil ainsi rabattu me laissait la place pour m'occuper de cet objet de plaisir. Jamais je n'avais imaginé qu'un tel sexe put exister et être surtout aussi rigide. Des grosses queues molles, oui, mais là, c'était un bâton de chair !!!
Je m'appliquais à le lécher, à aspirer les petites gouttes d'envie légèrement salées, qui commençaient à perler de son méat
Je m'efforçais à saliver pour tenter de faire glisser le gland dans ma bouche pour le gober. Petit à petit, ma bouche s'ajusta à cet objet de mon désir et je pus enfin y goûter pleinement. Peu longtemps car deux à trois va et vient suffirent pour le faire gicler tout au fond de ma gorge
De multiples jets chauds que j'avalais avec plaisir
. Je restais ainsi quelques instants, ma tête appuyée sur sa cuisse, son sexe dans ma bouche qui retrouvait lentement sa taille normale.
Je l'aspirais encore et encore, pour boire toute sa semence. Cela eut l'air de lui faire de l'effet, car je sentis que la bête reprenait vie
Déjà pensais-je
John me demanda de me relever. Il me positionna debout devant lui. Il m'écarta les jambes.
Il me murmura à l'oreille. Laisse toi faire, ne bouge plus. J'étais tétanisée
Ses mains me palpèrent sur tout le corps. Ce n'était pas deux mains qui me caressaient, mais quatre, six, douze, cent
. John m'est apparu affamé. Affamé de mon corps, de mes fesses, de mon ventre, de ma chatte, de mes seins. J'étais un "sexe" tout entier. Je sentais son souffle derrière moi qui m'électrisait. Il me faisait peur et m'excitait complètement à la fois
Ses doigts, trempés de ma mouille, me pénétraient, me dilataient mes orifices.
J'étais perdue. C'est la première fois que je me sentais ainsi transportée dans un monde de folie où tout n'est que sexe brut. J'agitais ma tête de droite à gauche. J'attendais qu'il me défonce avec sa bite, son énorme bite !!!
Ainsi dilatée, j'étais prête à tout. J'étais ouverte. John le comprit car il me pénétra profondément d'un coup. J'ai failli crier. Je me mordis les lèvres au sang pour ne pas détourner les spectateurs de leur film. Après quelques va et vient où j'avais l'impression qu'il m'écartelait, il me fit m'asseoir sur son pieu de chair. J'étais remplie comme jamais. Je n'osais bouger. John profita de ce répit pour me caresser les seins que j'avais tendus et durs à en crier
ses caresses me firent me contracter davantage autour de cette queue démonique.
Il me pinça les tétons à en crier. Je n'étais plus que douleurs et plaisirs mélangés. Tous mes points sensibles étaient excités à l'extrême. Une vague me submergeait. Je perdais pied
John le sentit bien. Après ces quelques moments d'intimité sexuelle, il me redressa sans sortir de mon foureau.
Il refit quelques va et vient doux avant de sortir d'un coup. Le coquin avait une idée derrière la tête.
Comment est-ce possible ? Je n'y croyais pas. Je l'accueillis avec plaisir. Il est vrai qu'Yves m'avait bien préparé toute la nuit précédente et mon anneau ainsi travaillé était heureusement devenu souple pour accueillir ce python.
Une fois au fond, John s'agrippa à mes hanches et entama un va et vient qui s'accéléra de plus en plus vite. Il me rendit à nouveau folle et je ne sais plus combien de fois j'ai joui ainsi avant que sa semence m'inonde les entrailles
.
Nous restâmes ainsi quelques secondes avant que John m'entraînât pour m'asseoir avec lui. Son sexe toujours au plus profond de mon cul. Il était si bien qu'il ne voulait plus en sortir.
Il m'embrassa dans le cou. Me serra dans ses bras et me murmura un "merci Éva
Tu as été merveilleuse
"
Nous sommes restés ainsi jusqu'à la fin du film. Quelle histoire, ma petite Éva
Je vais en avoir des choses à raconter à Paul ce soir
Le film arrivait à sa fin. Avant celle-ci, je me dégageai de John. Mon cul était orphelin de son gros calibre. Je ne pus me résoudre à abandonner ce pilon à moitié recroquevillé. La bête restait bien éveillée.
Je me mis à nouveau à genoux pour le prendre à nouveau dans ma bouche.
Son gland était gonflé, gluant et odorant : un mélange de ma cyprine, de son sperme et du jus de mes entrailles
Je me mis à le lécher, à le nettoyer, à le gober pour en profiter une dernière fois. Et ce je sentis ce gentil cochon se contracter pour m'envoyer une dernière giclée au fond de la gorge. Et il en avait encore une bonne réserve. J'ai failli m' par sa semence abondante et épaisse. Je ne voulais rien pas en perdre une goutte et je me fis fort de tout avaler
.
Mais déjà, la musique du générique se fit entendre et les lumières commençaient à se rallumer. J'eus juste le temps de me redresser et de me rajuster.
John fit de même. Une fois rhabillé, il me prit dans ses bras et me serra fort. Il me murmura à nouveau à l'oreille : "merci Éva
Tu es délicieusement bonne
"
Nous nous quittâmes après un long baiser sur le devant du cinéma. Chacun partant d'un côté. Moi, le cur et le corps légers. Mes orifices irrités.
En marchant, je sentis quelques gouttes de sperme qui s'écoulaient le long de mes cuisses. Cette sensation me fit sourire. Délicatement, je recueillis ce don de Dieu avec mes doigts, avant de les glisser entre mes lèvres, pour déguster avec plaisir les derniers vestiges de nos ébats
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